La sonnerie retentit quand j'avais presque finit mes devoirs de Français, j'adorais cette matière mais je n'avais pas finit mes devoirs. Les cours de Mme Elena Anderson n'étaient que passionnant mais je ne pensé pas a travailler car j'étais bien trop forte en Français pour suivre ses cours. Bref, je courras à toute vitesse pour me rendre à la salle de Français qui était grande, large, bien aérée, les tables bien placées et centrées au milieu de la salle qui avait un tableau grand et magnétique ; ce tableau capté les ondes d'un stylo que la professeur tenait tout en faisant des mouvements pour nous expliquer qui, quoi et ou veut dire sa, sa ou sa. Arrivée devant la salle de Français, je frappa à la porte mais je m'était trompé de salle. Je regarda en haut en attendant un signe à l'interrieur de la salle ou j'étais poser sur son seuil. Rien, nada, personne, pas un seul bruit dans cette salle. Je regarda le couloir du coin de l’œil et je remarqua que je n'avais jamais pénétré dans ce couloir. Il était sombre et triste, sans couloir, seule la porte devant la qu'elle je me trouvais était ''normale''. Je frissonna car cela ne m'inspirait pas du tout. Tous en étant la directrice de l'école n'avait jamais vu et construit ce couloir ...
Comment pouvait-il existait alors que je ne l'avait même pas créer ?! Je ricana pour je ne sais qu'elle raison. Je rigolais beaucoup, étais-je folle ou quoi ? Mon rire retentissait dans le long couloir obscure et sans couleur comme un long écho. J'eus une idée soudaine car j'avais soif et faim. Je commença a farfouiller dans ma sacoche que j'avais précédemment poser par terre en voyant qu'il n'y avait personne et j'en sortit une petite bouteille de Coca-Cola et une barre chocolatée Lion. J'avais déjà tout fini en moins de deux minutes et je rechercha la sortie que je ne trouvait plus, elle était à côté mais pourquoi n'y est elle plus ?! Je stressa et m'aggripa au mur, cherchant si il y avait une trappe cachée dans les mur mais rien. Je força mes doigts contre le mur en une petite espérance d'en casser un bout mais cela ne se passa pas comme prévu, un petit bout se décrocha et tomba par terre à une vitesse plutôt faible.
''Plutchk'', le bout venait de tomber par terre et cela m'étonna, je ramassa le morceau en pierre puis, la pierre en forme plutôt plate dans la main, je dirigea ma tête vers le trou pour voir ce qui s'y logeait. Mais rien d'autre qu'une salle comme les autres mais sombre, très sombre. Je vit une ombre passait sur le mur de la salle sombre, une ombre d'adulte. Cela me choqua étrangement et me fit stressé. Je voulut revoir cette ombre et je m'avança du trou et fit tout mon possible pour faire un trou plus épais. Je n'avais plus de doigts, essayer de décrocher des bouts du mur me griffait les doigts plutôt profondemment. Je me posa par terre, désespérée de pouvoir sortir de ce couloir sans porte de sortie. Puis je pensa à une chose ''ouvrir une porte de salle de classe pour essayer de trouver une sortie. Mais cela ne régla rien car toutes les portes étaient fermés à clef et je n'avais rien pour les ouvrir, même pas un petit fil en fer ou une autre clef. Je les avaient toutes laisser dans mon sac de piscine que je venais de ranger dans mon bureau à l'autre bout du bâtiment.
Je me reposa à terre puis joua avec un stylo quand une autre idée vint à moi, c'était de décortiquée un de mes stylo et d'y enlever les ressors en fer dedans pour en faire une clef et ainsi ouvrir les porte. Cela fut un éhe ar je n'avais pas beaucoup de stylo, seulement mon bleu et mon vert, les autres n'avaient pas de ressors. Puis je m'appuya contre le mur et me laissa tomber à terre. Je m'endormis puis quelque chose me réveilla, c'était un petit écureuil très mignon avec une queue très douce. Sa couloir rendait de la couleur au couloir si sombre. Il faisait bouger ses petites dents de sorte à me faire croire qu'il voulait me dire quelque chose mais je ne comprenais pas le langage animal des écureuils. Je dit un truc au pif du genre ''Tu sait où est la sortie ? C'est sa ?'' et mystérieusement, il avait approuvé mes paroles par un mouvements de tête régulier en la faisant monté et descendre, comme un ascenseur. Il partit le long du couloir, et arrivé au bout (lui), il m'appela en grattant le sol, je ne sais pas pourquoi. Je le suivit et il passa par la chatière d'une des porte, une porte que je n'avais pas vu du tout alors que j'étais là depuis les environs de 10 minutes.
Puis, a force de le suivre, il sauta dans un trou car on venait d'arriver devant a force de courir droit devant. Puis, de l'autre côté du trou, je vit une dame, mais ce n'était pas Madama Elena Anderson ?! Notre professeur de Français. Je cria son nom puis sa tête seule se tourna vers moi. Ce n'étais pas elle, cette dame me regardait d'une air meurtrier, elle voulait ma mort on dirais. Je recula et défonça une des porte qui était prêt de là ou je venait d'arriver. Les bout du sol remontaient sur le mur, je rêve ou quoi ?! La porte se referma brusquement derrière moi et je ne pouvait plus l'ouvrir, elle s'était auto verrouiller. Je tomba dans un long tobogan et j'arriva dans une salle de bonbons, chocolats et bien autres sucreries. Je rêver, cela était sûr et certains. Je me dirigea vers les sucreries et en prit une. Je la croqua, c'était réel puis quand j'eus essayer d'en prendre une autre, une sonnerie retentit.
J'étais bien en train de rêver et le cour d'Anglais était terminé ! Je sortit de la salle et resta dans le groupe qui se diriger vers le cour de Mme Anderson, maintenant, elle me faisait presque peur. Puis je regarda l'emploie du temps derrière mon carnet de correspondance, on devait aller en S.v.t. Je décida d'aller à l'infirmerie mais l'infirmière n'étais pas là. Je fit plusieurs fois le tour de l'établissement en espérant retrouve ce couloir et voir si ce n'était qu'un rêve ou la réalité. Mais rien, j'attendis l'heure au C.d.i puis, quand la sonnerie retentit pour l'heure de Français, j'accourus jusqu'à la salle de Français et j'attendis la professeur, en tête du rang devant la salle de Français.
- Salut m'dame !